Ils ont fait confiance au GEIQ BTP Hérault
Retrouvez les témoignages et retours d’expériences de jeunes sans diplôme, ayant obtenu par le dispositif d’insertion professionnelle, une qualification dans un métier du Bâtiment et des Travaux publics.
DANIEL, 21 ans, maçon
« Avant de connaître le dispositif d’insertion du Groupement, j’ai fait plein de petits boulots, mais on ne m’a jamais rien proposé de stable. Cette fois, on m’a ouvert les portes, j’ai pu passer un diplôme professionnel. J’ai été formé à un métier de maçon que je ne connaissais pas du tout et ça a débouché sur un CDI ».
AMIR, 22 ans, Coffreur-bancheur
« Le dispositif d’insertion professionnelle du GEIQ m’a changé. La formation de coffreur bancheur m’a tiré vers le haut. Ça m’a fait grandir. J’ai grandi avec le GEIQ. J’ai vraiment compris le monde du travail. Ça m’a montré comment ça allait se passer. Ça m’a préparé au monde professionnel.
L’alternance chantier formation, c’est important. Sur le terrain, on n’apprend pas pareil. On n’apprend pas forcément les bons termes. À l’Afpa, le formateur est là entièrement pour nous. En entreprise, les ouvriers n’ont pas le temps pour ça. Ils n’ont pas le temps de répondre à toutes nos questions. Maintenant, je connais le sens de mon métier. Je sais pourquoi certaines règles sont à respecter. C’est important surtout quand on a l’ambition d’évoluer et de réussir son insertion professionnelle. »
GASPARD, 22 ans, canalisateur TP
« Le suivi qui est fait, quand le personnel du Groupement d’employeurs vient nous voir en entreprise, c’est quelque chose qui aide beaucoup, que ce soit au niveau pédagogique ou sur le terrain. Cela nous donne envie d’y aller de nous dire qu’il y a des personnes qui sont là pour nous et qui ont envie de voir notre réussite. Et ça nous encourage beaucoup. J’ai obtenu mon titre professionnel » CAP Canalisateur » et j’ai l’intention de poursuivre mon cursus d’ingénieur en alternance. »
BAKOU , 26 ans, coffreur-bancheur
« Le métier de coffreur-bancheur, c’est vraiment bon pour moi. Ça m’a fait bouger, ça m’a fait faire des choses que je ne pensais pas pouvoir faire. On peut dire que j’étais dans la rue et le dispositif d’insertion du GEIQ m’a donné la vie. Je n’étais rien. Je ne savais rien faire. Je n’avais ni voiture, ni permis, et je finis ma formation avec le Groupement et tout ça, c’est réalisé. Et jusqu’à présent, je suis au top. L’entreprise m’a proposé un CDI ».